Didier Hirsch,
Pionnier du Report Art

Né à Boulogne-Billancourt, près de Paris le 29 avril 1959, Didier Hirsch se consacre d’abord à la science en étudiant la biochimie et la biochimie humaine.

Un bagage étudiant vite abandonné pour aborder en autodidacte l’apprentissage de la photo, sa passion, tout en travaillant pendant 4 ans au sein de la société Rank Xerox.

En 1986, Didier part pour le Tibet. Un voyage marquant qui lui permet de prendre du recul, et de faire un choix : la photo, l’image et le reportage seront désormais sa route.

Pendant plusieurs années, Didier arpente Paris, passe des journées entières au Musée du Louvre, observe les toiles, étudie dans le détail la composition des œuvres qui, comme la photo, délivrent messages, informations, sensations, sentiments....

C’est aussi à cette époque qu’il passe plusieurs mois en compagnie d’handicapés d’un CAJ (Centre d’activité de jour). Une plongée dans une réalité douloureuse et joyeuse d’où naîtra une exposition inaugurée par le président de la République, Jacques Chirac lors de La Journée de la Dignité.

Didier Hirsch a également passé plus de dix ans à voyager en France et dans le monde pour des photos de tourisme. Des années de rencontres et d’expériences, de plages abandonnées, de regards d’enfants malicieux, de paysages somptueux, qui forment le socle de sa vie d’artiste aujourd’hui.

Voilà 9 ans, Didier a choisi une nouvelle voie après avoir apprivoisé le numérique. Cette nouvelle matière disponible dans des milliers de clichés lui a ouvert un autre chemin. Il est devenu Artiste Plasticien, pionnier dans l’art visuel et d’un concept le Report Art.

Profil d’une oeuvre

Éloignées de l’art figuratif, les œuvres Report Art de Didier Hirsch se lisent chacune comme des doubles pages de reportages magazine sur différents thèmes : les fêtes, la finance, les sujets d’actualité…
La photographie, dédouanée de ses obligations figuratives, est pour Didier Hirsch une matière qu’il utilise pour sensibiliser et interroger.

La technique est innovante, l’œuvre est très structurée. Didier utilise les pixels comme un peintre ses pigments ou un sculpteur sa glaise.

Le fond de ses oeuvres est intensément travaillé, les pixels sont malaxés électroniquement jusqu’à obtenir l’effet désiré. Les personnages sont découpés numériquement à partir de photographies travaillées différemment.
Le résultat est unique, le rendu en trois dimensions optimisé.

 

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